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La commission de la protection de la vie privée demande à Clearview AI de supprimer toutes les données de reconnaissance faciale collectées en Australie

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Une patate chaude : Bien qu’il se soit infiltré dans la peau d’à peu près tous les régulateurs imaginables, Clearview AI continue de collecter et de diffuser des images d’individus accessibles au public dans le monde entier. Les régulateurs de plusieurs pays ont débattu de la manière dont les autorités peuvent utiliser cette technologie biométrique particulière. En attendant, il semble que Clearview soit devenu habile à esquiver le problème.

Les régulateurs australiens ont exigé que la société de reconnaissance faciale Clearview AI cesse de gratter les données biométriques des citoyens australiens et détruise toutes les informations et images précédemment recueillies sur eux. Selon le Bureau du commissaire australien à l’information (OAIC), les pratiques de collecte de données de Clearview violent les Loi sur la protection des renseignements personnels de 1988.

En vertu de la loi australienne, aucune entité ne peut collecter les « informations sensibles » des personnes sans leur consentement. Étant donné que Clearview AI recueille des images et des données sans prendre de « mesures raisonnables » pour en informer les personnes impliquées, les autorités chargées de la protection de la vie privée pensent qu’elle utilise des moyens injustes pour collecter les informations personnellement identifiables (PII).

« La collecte secrète de ce type d’informations sensibles est déraisonnablement intrusive et injuste », a déclaré la commissaire à la protection de la vie privée Angelene Falk. « Les personnes figurant dans la base de données peuvent également être exposées à une erreur d’identification. Ces pratiques sont bien en deçà des attentes des Australiens en matière de protection de leurs informations personnelles. »

L’OAIC initié l’enquête sur Clearview en juillet 2020 lorsqu’elle a découvert que la police fédérale australienne (AFP) avait testé le logiciel de reconnaissance faciale entre octobre 2019 et mars 2020. Une enquête distincte sur l’AFP est en cours.

Clearview AI s’est rabattue sur la défense qu’elle a utilisée contre les critiques depuis le début. Il fait valoir que puisque les informations qu’il recueille proviennent de sources publiques, elles ne peuvent pas être considérées comme des données privées. Il dit également que, puisqu’il s’agit d’une entreprise basée aux États-Unis, elle ne relève pas de l’autorité australienne. Quant à la fourniture de la technologie aux forces de police du pays, la société affirme avoir interrompu les procès en Australie dès que l’OAIC a ouvert son enquête.

Clearview AI a impliqué elle-même dans de nombreuses controverses sur la vie privée depuis sa fondation. Les accusations vont de la collecte illégale et contraire à l’éthique de données à la sécurité laxiste dans la conservation de ces informations. Cependant, l’entreprise continue d’une manière ou d’une autre à fonctionner malgré de nombreuses tentatives pour fermer ce vers le bas.

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