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En lettre : La Station spatiale internationale (ISS) a récemment été victime d’un accident vasculaire cérébral avec un débris spatial qui aurait pu s’avérer catastrophique si aucune mesure n’avait été prise. Les débris orbitaux en question, un morceau du défunt satellite météorologique Fengyun-1C, ont été laissés par un essai de missile anti-satellite chinois en 2007. Le missile a frappé le satellite à une vitesse d’environ 18 000 mph, entraînant la création de des milliers de morceaux de débris orbitaux.
Pour éviter une collision potentielle avec l’une des pièces, un vaisseau spatial de ravitaillement russe amarré à l’ISS a tiré ses roquettes pendant un peu plus de six minutes le 11 novembre. altéré la vitesse de l’ISS, en augmentant son orbite de 1,2 kilomètre (0,75 mille) et en la plaçant hors de danger.
L’ISS orbite autour de la Terre à un peu plus de 17 100 mph. À cette vitesse, même un petit morceau de débris spatiaux pourrait causer de graves dommages.
En mai dernier, les capteurs du réseau mondial de surveillance spatiale (SSN) du ministère de la Défense étaient suivi plus de 27 000 débris spatiaux plus gros qu’une balle molle. De plus, il y a au moins un demi-million de débris supplémentaires de la taille d’une bille ou plus.
Depuis 1999, l’ISS a effectué 29 manœuvres d’évitement de débris, dont trois ont eu lieu en 2020.
Le problème des déchets spatiaux va probablement empirer avant que ça s’améliore. Des entreprises dont Lien étoile, Amazone et Boeing déploient des milliers de petits satellites en orbite terrestre basse pour transmettre la connectivité Internet aux régions mal desservies du globe.
Crédit de la bannière Masthead Pixabay
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